Bonjour,
Mon bilan peut être consulté sur les lien ci-dessous :
Introduction :
Dans ce bilan, en rapport avec le cours du Web social, nous aborderons
les différentes habiletés acquises durant l’élaboration des activités proposées
et les difficultés parfois rencontrées. Nous commençons par décrire les outils
utilisés, nous mentionnons quelques-unes des plus importantes théories de la
sociologie. À cet égard, comme étant une
perspective choisie dans notre document nous
détaillons les outils puis l’impact des réseaux sociaux sur l’éducation
et la future des réseaux sociaux en éducation. Soit, en analysant différents facteurs qui
influencent leurs l’intégration en éducation. Et enfin, nous donnerons notre
conclusion.
Pour introduire les médias sociaux, nous disons qu’ils se reposent sur
les fondements de la plateforme du Web 2.0 pour permettre à ses utilisateurs de
créer, distribuer, chercher, partager ou manipuler du contenu libre d’accès.
Ainsi, les médias sociaux regroupent quant à eux une grande variété de
plateformes en ligne ou d’applications mobiles.
Dans
notre cours et en effectuant quelques recherches sur internet, nous avons
découvert une large variété d’applications, le plus grand profit tiré de ce
cours est la découverte des fonctionnalités de la plupart des plateformes et
réseaux sociaux les plus performants et les plus utilisés. Et, pour bien être
équitable, nous disant que parmi les difficultés rencontrées, nous avons
affronté un grand embarras de choix et parfois des fonctionnalités qui ne sont
pas bien visibles aux utilisateurs, non plus facile à utiliser, comme les flux
RSS et la syndication, mais comme même
l’expérience été super bien. Aussi, le cours aborde les théories de la
sociologie les plus en rapport avec les groupes sociaux. Pour commencer, voici
une exhibition de quelque unes, c’est-à-dire, les
grandes catégories de médias sociaux.
Les grandes catégories de médias sociaux et outils de
collaboration et production :
Les tagging et l’annotation et
partage :
Ces applications permettent le tagging sur le
Web pour ensuite les partager avec d’autres utilisateurs. Pinterest,
Pearltrees, Diigo et Del.icio.us sont des outils de ce genre.
Syndication à des flux d’information :
Grâce à l’utilisation de Tweetdeck, de Netvibes
et même de fils RSS (Really Simple Syndication), les usagers peuvent recevoir
une notification lorsqu’il y a des changements sur leurs sites favoris.
Wikis
et outils d’édition collaboratifs :
Ces technologies offrent aux usagers la
possibilité de collaborer au design, à l’édition, l’ajout d’hypertextes, image
et au développement de contenu numérique. Ouverte à tous, l’encyclopédie en
ligne Wikipédia permet la collaboration pour développer ou améliorer le contenu.
Wiki pour la collaboration, nous avons aussi Google Docs et Office 365, très répandus en
milieu scolaire. Enfin, les traducteurs en ligne et les dictionnaires
collaboratifs tels Bab.la et Vocabulary.com font aussi partie de ce type de
plateformes.
Réseautage social :
Au début, nous citons à titre d’exemples, twitter
comme microblogue entre contacts, Facebook pour les familles et amis, LinkedIn
pour les contacts professionnels et orientations. Ces sites facilitent les
interactions sociales et le partage d’actualité mondiale, régionale et
personnelle des familles et amis. Aussi, ces réseaux aident à échanger les idées communes entre les membres d’un groupe
d’intérêts communs ou entre amis. Ainsi, les usagers se construisent un profil
public ou semi-public, se crée un réseau de contacts avec d’autres usagers et
ils ont accès aux fonctions de l’étiquetage (tagging).
Édition et partage de médias et
contenus :
Ces sites permettent aux utilisateurs de
produire des pages web, écrire leurs propres contenus et le partager. Les
exemples sont très nombreux comme : WordPress, Google sites, Weebly,
Web.com, Twitter, YouTube, Snapchat et Pinterest sont des outils d’édition,
alors que Google Drive, Dropbox, WeTransfer ou Sendspace favorisent le partage
de médias.
Manipulation et traitement des médias :
Avec ces sites, les utilisateurs peuvent
éditer, partager ou modifier du matériel numérique comme des vidéos, du
matériel audio ou des photos. Elles permettent aussi l’étiquetage, comme YouTube,
Flickr et Instagram sont intéressants pour l’édition et le partage de vidéos et
de photos. Les sites FotoFlexer, Splashup et pixlr pour les photos, Toondoo,
birdsdessines pour les bandes: canva et
Voice Thread pour les fichiers audios.
Messagerie et conversation :
What’s up, Viber, Duo, Messenger et Skype des
messageries instantanées qui permettent même la conversation vidéo. Des espaces
comme Edmodo ou Google Classroom, conçus pour l’éducation, ou les groupes
fermés comme Adobe Connect, BlueJeans,
Skype, Google Hangouts ou Periscope. Avec plusieurs options comme
l’enregistrement des séances de cours ou conversations et prise de notes.
Jeux en ligne et mondes virtuels :
Ces
jeux favorisent les interactions entre les utilisateurs grâce à la
participation des joueurs, ils peuvent créent un avatar et l’incarnent dans un
monde entièrement créé par eux. Ces jeux peuvent couter parfois des centaines
millions de dollars.
Fig1 : Exemple de modèle d’utilisation des technologies et réseaux
sociaux en éducation
Réseaux sociaux et éducation :
Dans
le même contexte, nous nous penchons sur l’apport du Web 2.0 et des médias
sociaux dans l’éducation. Et le retombé de l’intégration de ces outils sur l’éducation
.Ainsi que les tendances des utilisateurs et leurs implications dans ce sens.
Tout d’abord, malgré les
inconvénients et l’insécurité qui présente l’utilisation des médias sociaux,
ces outils offrent un grand avantage à la société et aux différentes communautés, puisqu’ils
favorisent la sociabilité. Soit la
structuration de nouveaux liens sociaux dans un monde qui est caractérisé par
l’isolement et la solitude des individus. Certainement,
nous avons tous besoin d’établir des relations et des connexions sociales et
professionnelles puisque nous faisons partie d’un système, comme souligné par (Ittelson,
1991) « L’individu fait partie du système qu’il perçoit et les stratégies
qu’il adopte deviennent une partie
intégrante de l’environnement qu’il
appréhende à son
tour comme extérieur à
lui-même. Les façons
de considérer l’environnement sont donc, dans un sens très large, fonction
de ce qu’on y fait, y compris les stratégies déployées pour l’explorer et le
comprendre. Et ce qui est effectué dans l’environnement représente à son tour
une possibilité parmi beaucoup d’autres. »
En effet, les réseaux
sociaux et les blogues prennent de plus en
plus de place dans notre vie. Ainsi, Facebook avec plus de 2.13 milliards
d'usagés mensuel se trouve au sommet des outils de communication et de partage
de contenu entre utilisateurs. Quant est –il de l’implantation dans le milieu
éducatif? Pour plusieurs raisons, l’apprentissage par l’entremise des médias
sociaux se développe en parallèle avec ses
propres outils et parfois avec les mêmes outils comme les groupes dans
Facebook. Que ce soit pour « apprendre
à apprendre » ou « apprendre des connaissances » les
réseaux sociaux sont très utiles pour la
communication et les échanges de partage d’idées ou recherche d’informations.
Cette intégration est bien sûr conditionnée, les établissements scolaires
et le milieu éducatif en général doivent veiller à prépare les conditions
favorables pour une intégration efficace, comme
la formation des enseignants, la
cohérence avec les différentes situations pédagogiques actuelles, le respect de la vie privée des apprenants et
en prenant en considération le grand phénomène de distraction des apprenants
par ces outils en classe. Et ceci, en instaurant des règles d’utilisation bien
précises et claires. Ce qui est évidemment lié à la violenter des enseignants
et tous les différents intervenants en éducation. Comme indique par (Sandholtz
et al, 1997). « Dans l'ensemble, on remarque que les conditions citées
comme importantes pour l'intégration pédagogique des tablettes sont souvent
similaires à celles associées
à l'intégration d'autres
appareils numériques. L'importance
du soutien et de l'environnement technique,
de la formation,
de rendre du temps
disponible et des
croyances des enseignants
était, par exemple, déjà
citée comme des
facteurs importants lors
du projet ACOT durant les années 1990 »(Sandholtz et
al, 1997). Et comme ajouté par Crichton, Pegler
et Duncan (Crichton et
al., 2012) qui associent
plusieurs autres avantages aux iPad et iPod Touch dont la longue vie de
leur batterie, leur taille,
leur courte et
rapide courbe d'apprentissage ainsi
que leur prix. Du côté négatif,
ils citent des difficultés associées à
la perte de données et au partage de fichiers pour la collaboration.
Future des technologies et des réseaux sociaux en éducation :
Avant de
donner une prévision des perspectives d’utilisation, examinant de près les
différents outils technologiques liés à l’enseignant. Soit en identifiant quelques différents types d’outils, leurs fonctionnalités
et la future des réseaux sociaux dans
les années qui suivent surtout en éducation. Comme déjà indiqués, les réseaux
sociaux s’utilisent par tous des différents intervenants de l’éducation et les
étudiants. Actuellement, les enseignants et étudiants préfèrent utiliser des outils
bien spécifiques à l’éducation. À l’instar des écoles qui utilisent des systèmes spécialement
destinés à l’enseignant et le suivi des étudiants dans leur progression. En
exemple, les LMS qui créent des formations attrayantes et qui permettent de
suivre le progrès de ses étudiants. Généralement, ces systèmes possèdent les
fonctionnalités de base. Dans un ou deux ans nous assisterons peut être au développement
des nouvelles fonctionnalités avancées telles que l’exportation des résultats,
l’envoi d’invitations aux utilisateurs et la production assister des portfolios,
etc. Dans le futur, les LMS seront plus sophistiqués et efficaces, de telles plateformes auront l’occasion d’ajouter
plusieurs options et fonctionnalités comme l’assistance à la réalisation des
portfolios et personnalisation des interfaces utilisateur. À cet égard, nous voyons
que le marché des plateformes d’apprentissage est dernièrement soutenu par de nombreux fournisseurs de solutions LMS qui
pénètrent le marché grâce à leurs idées novatrices. Cependant, il faut que le design
pédagogique soit cohérent avec les théories d’apprentissage et les orientations
pédagogiques soient liés aux activités d’apprentissage. Ainsi, nous sommes
convaincus qu’une plateforme LMS doit créer un environnement d’apprentissage
captivant et supporte les technologies mobiles sur les iPad et téléphones
intelligents, comme Ellimunate, moodle etc.
Comme indiqué par Crichton,
Pegler et Duncan (Crichton et al., 2012) et Karsenti et Fièvez
(Karsenti et Fièvez,2013), nous
concluons également que
les iPad sont des
outils prometteurs si
certaines conditions pédagogiques
et technologiques sont respectées.
L'environnement scolaire doit
être structuré pour
soutenir l'apprentissage mobile
(réseau sans fil
performant, guides
définissant les usages
acceptables à l'école,
guides d'utilisation des applications, etc.),
mais surtout, il
faut combler les
besoins de soutien
et de formation des enseignants qui intègrent les tablettes dans leur
pratique et être attentif aux changements occasionnés tout en évitant de les
interpréter trop rapidement ou selon un cadre qui ne prend pas en compte les
changements se produisant. Patrick GIROUX 2013
Fig. 2 : Structure et utilisation des LMS “Learning management
system”
Comme exemple des progrès nous présentant les
liens ci-dessous :
·
Future
des évaluations K-12 :
·
Le Bulletin TIC : Votre nouvelle techno
pédagogique! Être à l'affût des tendances numériques en éducation! Par ce
Bulletin TIC remodelées de l’équipe APO-DSTI http://lien.cssmi.qc.ca/bulletinticfev18
Fig. 3 : Tablette avec clavier laser projetable
De plus, il faut veiller à ce que ces environnements
d’apprentissages soient conçus sans la moindre possibilité de distraction
surtout concernant les applications utilisées en classe. Dans le futur proche a
peut près d’un ou deux ans, de plus en plus de solutions de formation
e-learning ajouteront des fonctionnalités permettant d’améliorer les capacités
d’apprentissage de leurs étudiants. Exemple améliorer la vitrine des travaux et
les portfolios ainsi que les options de
Production. C’est-à-dire, les logiciels
qui permettent aux apprenants la production et la modification des contenus.
Aussi, améliorer le matériel comme tel, comme les futurs ordinateurs exhibés ci-dessous :
À long terme, le défi et de former
les enseignants afin de suivre les évolutions et d’adopter les pédagogies propices
à l’enseignement en question de chaque activité pour une intégration efficace
de la technologie. Et, s’attendre à améliorer la structure actuelle de nos écoles pour correspondre aux nouveaux
besoins matériels et supports techniques.
En effet, le potentiel informatique actuel est
peut exploité à cause de la manque d’enseignants formés dans l’utilisation des
nouvelles plates formes avec toutes leurs fonctionnalités et savoir tirer
profit de ce potentiel en choisissant le meilleur outil pour chaque activité.
Prenant l’exemple des logiciels d’assistance
des élevés dans les salles d’informatique qui
permettent de visualiser leurs travaux directement et avoir une vue générale des écrans des apprenants comme dans la figure ci-dessous :
permettent de visualiser leurs travaux directement et avoir une vue générale des écrans des apprenants comme dans la figure ci-dessous :
Fig. 4 : Logiciel de supervision des apprenants
en salle d’informatique
Les logiciels de
supervision de salle informatique, ces diapositives peuvent par exemple aider à
assister les apprenants dans la résolution des équations en mathématique avec
math.net ou l’expression écrite, ce qui économise énormément le temps des
enseignants et plus bénéfique pour les élèves.
Aussi les recherches individuelles où
par groupe mener par les apprenants rencontrent des problèmes de confiance et
de crédibilités des sites consultées, un problème de la future qui reste
toujours très important surtout, la vérification des informations trouvées sur
le web. En fait, malgré le développement du web sémantique de, et les milliards de pages
web qui contiennent des informations importantes qui nécessite même un langage
de questionnement ou interrogation des donnes comme SPARQL , la fiabilité et la
crédibilité reste un problème à résoudre ou contourné.
Il est important de noter aussi que la confiance et la crédibilité ne résident
pas dans la personne ou l’objet considéré, mais se rapportent
fondamentalement à l’observateur. Autrement dit, il faut forme les
apprenants à vérifier les ressources.
Conclusion :
En conclusion, l’intégration graduelle d’outils
informatiques en général et des réseaux sociaux spécialement exige des efforts
et des moyens supplémentaires de la part des directions d’établissements
scolaires et des enseignants. Disant qu’avant de débuter l’utilisation des
médias sociaux, il convient et il faut tenir compte des particularités
techniques, pédagogiques et humaines de chacun de ces outils. Au moment de
réaliser une première activité d’apprentissage de ce nouveau genre, il est
essentiel que l’enseignante ou l’enseignant énonce soit bien forme et maitrise
les plates formes nécessaires et donnes des consignes claires aux apprenants.
L’efficacité pédagogique la plus importants soit réalisés ou
atteinte lorsque l’on intègre les médias sociaux dans des scénarios
pédagogiques cohérents avec les objectifs d’apprentissage du cours et que l’on
adopte des méthodes pédagogiques dites actives où l’apprenant apprend à
apprendre et choisi ses propres activités d’apprentissage pour construire son
savoir et le partager avec les autres . Aussi, les conseillers pédagogiques
doivent soutenir l’opération et offrir les supports nécessaires aux enseignants
et apprenants.
References
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Conférence prononcée au « Sommet de l'iPad en éducation », Montréal,
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SANDHOLTZ, J. H., RINGSTAFF, C. et D. C. DWYER
(1997). La classe branchée – Enseigner à l'ère des technologies. Montréal : Chenelière/McGraw-Hill.
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